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INDOCHINE BLACK CITY PARADE (Réédition Limitée) - INDOCHINE

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      Avis sur Indochine Black City Parade (Réédition Limitée) - Indochine - CD Maxi

      Note : 5 2 avis sur Indochine Black City Parade (Réédition Limitée) - Indochine - CD Maxi

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      Présentation Indochine Black City Parade (Réédition Limitée) - Indochine

       - CD Maxi

      • Auteur(s) : INDOCHINE
      • Editeur : Sony Music
      • Label : Sony Music
      • Sortie : 01/01/2014
      • Nombre de CD : 3.0

      L'épopée continue... Comme d'habitude, la sortie de ce nouvel album (le douzième studio) d'Indochine est salué par les médias avec le manque de déférence syndical, et comme de coutume, les fans l'achèteront en masse et se précipiteront pour la série phénoménale de concerts (leur plus longue tournée à ce jour) qui servira de messes où Black City Parade fera office d'évangile, avec une cérémonie apogée au Stade de France en juin 2014. Ce nouvel opus, sous couverture aussi urbaine que noire, démarre par quelques mots piochés dans le journal de Mireille Havet, poétesse lesbienne du début du siècle dernier, emportée par la tuberculose à 34 ans, qui a profondément marqué le leader du groupe mythique.

      Puis Black City Parade creuse le sillon familier de l'Indochine 3.0 : paroles cryptiques et messages forts (« College Boy », fort à propos dans cette pestilentielle période où fleurit l'homophobie ordinaire arrosée par les réactionnaires de tout acabit, ou « Le Fond de l'air est rouge » inspiré par les révoltes étudiantes québécoises de 2012), mélodies simples et luxuriance des arrangements. « Memoria », premier single envoyé en drone quelques semaines plus tôt, étend son implacable mouvement sur plus de sept minutes. Car la longueur n'est pas un concept prescripteur chez Indochine, les morceaux sont conçus pour développer leur puissance et leur majesté sur scène, ils ne se soucient jamais des formats radio (la plupart des titres font plus de six minutes), et c'est aussi ce qui fait la force de ces chansons inspirées par divers séjours de Nicola Sirkis et Oli de Sat dans diverses cités européennes.

      Shane Stoneback, repéré pour son travail avec Cults, Vampire Weekend ou encore Sonic Youth (après avoir fait ses classes en mixant...« Ooops, I Did It Again » de Britney Spears !) a mixé ces seize chansons pour en renforcer la compacité tout en leur laissant de l'air, comme dans « Wuppertal », où l'ambiance se prend de langueurs sur des arpèges acoustiques avant de laisser la porte ouverte au gros son. Sirkis a annoncé cet album comme le plus optimiste de la récente carrière de son groupe. Après « Belfast », effectivement enjoué, la trajectoire vagabonde nous emmène vers la Corée, à travers « Traffic Girl », coécrit avec Lescop, dans des effluves des prémices du groupe, dans les lointaines années 1980, quand les guitares claires et les sonorités orientales faisaient l'ordinaire de débutants travailleurs.

      Décrypter un album d'Indochine est un travail de longue haleine, il faut s'imbiber des phrases pour en apprécier le discours caché, se laisser coloniser par ces couches additionnées d'instruments qui font une pâte homogène d'où on finit par isoler les éléments un par un. Etirée sur quasi une heure et demie, cette imprégnation laisse le client repu. Pas de duo cette fois-ci, comme sur les disques de la décennie 2000. Mais un long parcours impressionniste, nocturne, nerveux, comme une errance urbaine en quête de sensations.

      Copyright 2017 Music Story Perrin Jean-Eric

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